On semble, ici bas, reprocher aux gallinacés cocardiers de français l’étiolement de la déjà vide Albion.
Et moi qui croyait ibères et anglais fiers !
Hors, à la première échauffourée, le moral en berne, ils sollicitent la grâce.
Pourtant il me semble que le jeu est ainsi fait qu’une nation sous-développée peut se défendre et survivre à la perte d’un seul comptoir.
J’ai bien peur que ce ne soient pas les exactions des français qui sonnent le glas du serveur mais les réactions suscitées.
Je vous en conjure donc, messires les français, pillez, mettez à sac nos ports et comptoirs, qu’Hornigold s’abîme dans un bain de sang et ait une fin digne.