Corsaires sans frontières (oO)

S'lut.


Toi être bienvenu ici, François Coste.
Corsaires être courageux.

Moi souhaiter Toi réussir créer société corsaire.
Moi dire Toi, si taverne pouvoir aider Toi, alors Moi content.
Marchands besoin corsaires pour voyage.
Pointe à pitre être parfois plein dangers pour marchand seul.
Moi savoir, Moi aller une fois avec Poulpe.
Moi bien voir vautours-navires tourner autour Nous.
Poulpe aller PaP avec petit navire ! Tout petit navire !!
Poulpe pas bien dans tête Lui.
Mais ça pas être nouveauté...

Donc, Toi escorter marchands, être bouclier contre vautours-navires.
Et, quand Toi terminer, Moi toujours rhum et bon frichti pour Toi.
Toi te reposer alors.

Ca être vie taverne Poulpe.
Belle vie !

Santé Toi !

Ave.

Mon très cher fils, si d'aventure votre société prenait forme, ce dont je ne doute pas un seul instant, soyez assurés que les 25 cierges que vous allez sûrement faire brûler dans notre église, y auront sûrement, quoique modestement, contribués.
Oui, car si votre valeur sera le grand "plus" déterminant dans votre projet, les cierges en seront...le petit "plus à virgule".
Et, que serait un chiffre sans ses décimales ?
Incomplet, bravo, je ne vous le fais pas dire !

Le cierge est vendu pour la modique somme de 10 doublons.
Et pour la même visite, un superbe édifice miniature comblera votre oeil de beauté.
Un édifice que vous ne pouvez manquer de voir (à droite en entrant), dont la forme n'est pas sans évoquer un puit sans fond...mais en hauteur.
Vous y remarquerez sur la face avant, une sorte de fente.
Essayez de faire tomber quelques piécettes en dedans.
Vous verrez, c'est amusant, on ne s'en lasse pas !

Et puis...Cela plait à notre Seigneur.
Et plaire à notre Seigneur, c'est s'assurer son concours dans votre projet.

Loué sois le divin mystère de la piécette qui fait gling !

Amen.

Ajout du BG :

Né à Saint Malo, d'un Père pêcheur et d'une mère Italienne, mon nom est François Coste, ou Francesco Coste (costé).
Suite au décès de mon Père en 1711, j'étais alors âgé de 13 ans, je décidais de rejoindre l'armée pour embarquer à bord d'un 52 canons en route vers l'amérique.

En cours de route, l'équipage de mon navire se mutina et un vieux loup de mer du nom de Grégoire le Saoul pris le contrôle du Navire.

C'est ainsi que pendant 5 ans, je fus au service d'un vieux fou, toujours à moitié ivre et perdant mois après mois sa tête.
J'ai eu l'occasion tout de même d'en apprendre beaucoup sur la navigation, quand cet homme malade avait un sursaut de lucidité. Ma vie se résumait à piller, violer et fréquenter des tavernes lugubres, essentiellement dans la zone de Tortuga.

A la mort du vieil homme, beaucoup montrèrent les crocs pour récupérer la tête du navire. Soixante-cinq membres d'équipage les uns montés contre les autres, peu de temps fut nécessaire pour que cette affaire finisse en bain de sang. Et le nouveau capitaine, du nom de Willy l'escroc prit le commandement du navire.

Cet homme etait avide de sang et de richesses, mais totalement incompétent, et nous ne mirent que peu de temps avant de tomber sur plus intelligent que nous, un corsaire du nom de "Samuel le Renard".

La bataille fut brève et quand ce grand homme monta à bord, je vis rapidement que j'avais devant moi un modèle. L'homme décida de passer en revue l'équipage. Les boiteux et malades furent jettés à la mer. Je fus effrayé et commençais à croire que ma petite existence s'arreterait la, mais le capitaine avait une toute autre idée en tête. L'homme nous offra le choix entre la potence ou rejoindre ses rangs, ce que je fis sans hésitation.

C'est ainsi qu'en 1717 je rentrais dans le cercle très fermé des corsaires, seuls pirates habilités à couler des navires sans représailles.

Le Renard, après seulement quelques mois à bord décida je ne sais pourquoi de me prendre sous son aile et m'appris les rudiments pour être un bon capitaine et un bon corsaire.

En 1719, alors que j'étais devenu premier officier, le capitaine fût touché par un éclat de coque lors de l'explosion des réserves de poudre. Il me donna le commandement du navire, un halifax rafistolé, et me lègua la mission de remettre une lettre de change à sa femme, dans laquelle il lui léguait sa fortune, notament acquise grâce à la revente du 54 canons.

Janvier 1720, je rejoignais le dock de CharlesFort, où je puis remettre les effets personnels du capitaine ainsi que la lettre à sa femme.

Quelques bordées plus tard je rencontrais Louis de Tours, puis Math le Rouge avec qui je decidais de créer une société, celle des Perroquet Bourrés, dont le nom s'inspire d'une célèbre taverne, tenue par une amie de ma mère à Lyon, capitale des gaulles et ville semi-indépendante : La taverne du Perroquet Bourré.

Quelques jours plus tard, je rencontrais Crowell Himura, qui devint mon partennaire et associé principal dans la direction des Perroquets !

Je tiens à remercier tous ceux qui comptent parmis nous en ce jour et espère voir notre entreprise prospèrer.

François Coste[/b]

Et bien voila un récit fameux. Asseyez vous donc et prenez un verre. bienvenu parmi nous

bienvenue a toi .

un corsaire , c'est pas un pirates qui n ose pas etre independant et qui a besoin de la protection du gouvernement ? ?
" non je plaisante :p , c est une boutade de pirate ^^ "

aller santé !!

*Discute avec son associé François Coste*

*note le nom Mu-gi-wa-ra sur un petit carnet noir*

Voila, c'est juste histoire qu'on n'oublie pas de se raconter des blagues si jamais on se croise ^^